Le fil d’or de section cylindrique se retourne aux deux extrémités en volutes martelées. L’absence d’attache ou de pendentif ne permet pas de savoir si ces volutes forment le seul décor de ce bijou, ni s’il se portait devant ou derrière le cou. La résistance du métal, en faisant ressort, pourrait permettre d’assurer la bonne position de ce bijou après l’avoir placé autour du cou, et permettrait en conséquence de se passer de fermoir. Pierre Provoyeur, "Les arts de la table, les bijoux et les objets de dévotion" dans F. Goddio, [/et al./], [/Le San Diego, un trésor sous la mer/] - Catalogue de l’exposition, Paris,1994, p. 258-297.